Désolé je ne savais pas trop ou mettre les poemes, du coup je viens squatter l'espace conte !
je faisait a l'époque parti d'un site de consommateur "ciao" et dedans il y avait l'espace, conte, poemes etccc
merci d'être indulgente ;)
en voici 4 , j'en ai fait d'autres, mais il faut que je les retrouve -
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۩ tu sais ........
۩ la brume inonde le chemin,
le petit chemin que tu connais,
celui , tu sais, qui monte au dernier endroit,
visiter de fleurs et de pleurs
۩ tu la poussés, tu sais,
autrefois , si souvent,
cette petite porte,
qui borde le chemin,
qui borde l'entrée
۩ Dans un bruit de fer,
tu la ouverte,
tu la attendu,
mais en vain
۩ emportant ton amour
tu as poussé le verrou,
près d'elle,
devant elle,
tu bénis
۩ de fleurs tu la recouvres,
un doux parfum de lilas embaume l'air,
le vent se lève,
il est temps pour toi de partir,
۩ tu la quitte , le regard vide
demain tu reviendras,
demain tu pousseras,
encore une fois , il cédera,
rouiller, mais toujours debout,
la petite porte, du petit chemin,
que tu aimés tant
۩ aujourd'hui
la porte restera fermé
auprès de ton amour,
enfin tu renais
۩ tu as tant espéré,
tant prier,
un dernier grincement,
et tu y est,
près d'elle,
enfin tu te retrouve,
auprès d'elle tu tes couché,
۩ le vent souffle toujours sur le petit chemin,
tu sais le lilas est toujours là,
la petite porte est toujours rouillée,
۩ par grand vent,
son grincement me rappelle,
ce petit homme,
qui par tous les temps,
arpenter le petit chemin,
۩ Maintenant, c'est à moi de suivre le chemin,
de monter la haut,
et de fleurs,
couvrir vos coeurs
۩ A jamais ,
enfin réuni
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◊◊◊ la vieille ...........
◊ On est jeune,
On est bête,
Tu le sais,
La vieille
◊ De partie de sonnette,
Au ballon qui t' obsède,
On ne pense pas,
On vénère
◊ Tu ferme tes fenêtres,
De bruits et de lumière,
Tu te caches
◊ On en ris,
On s' amuse,
Vive la jeunesse
Et que passe vieillesse
◊ Assise dans ton fauteuil,
auprès du feu, tu t' imagines,
Volant au-dessus du lac,
Tes cheveux dans le vent,
Ta robe de mousseline,
Volant, sous la brise légère du printemps,
◊ Le temps à stoppé pour toi ces aiguilles,
Tes joues se sont creusé,
Tu ne pleures plus,
L' oubli fait ta vie,
◊ Ta main l' effleure et le caresse,
ton regard éteint par tant d'années,
tu en oublis tes pensées,
de ta main usé, tu cherche un papier,
un mot, un écrit pour ne pas oublié
◊ Il te regarde, tu lui souris,
Tu as oublié son nom,
Pourquoi est-il là ?
A qui appartient-il ?
◊ il se rédit et s'étire,
ta main glisse et tu lui souris,
avec toi il as grandi,
avec toi il as senti,
◊ senti le poids des années,
tombé sur toi a regret,
le dos cassé tu ramasse le papier,
sur lequel déjà tu as oublié,
oublié le fond de tes pensées
◊Sous une apparence caché,
tu ne dévoile tes secrets,
toi qui sans cesse,
oubli le passé,
meurtri de tant de faiblesse,
sans jamais osé
◊ Tu regardes la fenêtre,
La mélancolie est ta seule amie,
◊ Toujours assise, jamais démise,
Le poids des années,
Te font te courbé,
◊ Ton corps n' est plus,
Aujourd'hui, ou demain,
Un jour peut être,
Tu vis la mort,
Si proche d'elle,
Tu t' oublis
◊ Le temps a laissé sur toi,
Ces plus belle trace,
Petite ligne du sourire,
Attendri ton regard,
◊ Dans la pénombre de ta chambre,
Tu distingues les silhouettes,
Un ange passe,
Une fleur tombe
◊ rêves inachevés,
Tu aimerais encore,
Mais tu ne peux pas,
◊ Tu les laisses faire,
Pourquoi lutter,
bientôt la nuit,
Ils cesseront
◊ Dans ta petite maison,
Tes enfants ne vont plus,
Attendant l'instant,
◊ Pour toi le temps est présent,
Pour eux, c'est du passer,
Ils ne viennent plus,
Ils s'excusent
Une autre fois peut être
◊ Demain , regrets et amertume,
La vielle n'est plus,
Les aiguilles ont cessé de tourner pour elle,
Le papier reste muet,
Les mots et les pensées restent en suspend
Comme arrêter par le temps
◊ Les années ont passé,
Les souvenirs sont là,
Nous avons tous une petite vielle,
à jamais encrait au font de nos mémoires,
◊ Une petite vielle si détestable enfant,
Mais si attachante maintenant,
◊ Nous serons tous un jour ,
Terni par le temps,
Alors souvenez vous,
◊ ◊ ◊ Nous recevrons ce que nous avons donné,
Adieu Madame .......◊ ◊
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A toi ............♥ (a mon pére)
♥ Cela fait un peu plus de 8 ans que tu nous as quittés,
La mort t'a rappelée à elle,
Comme un couperet,
Le diagnostic est tombé
♥ Sans oser l'affronter,
Nous avons supporté,
Te faisant passer tes derniers instants,
Du mieux que nous le pouvions
♥ En fondant malgré tout l'espoir,
Mais les journées sont passées,
Et elle ne t'a pas oublié,
♥ effaçant ces années ,
D'un trait tu nous as quittés , tu avais à peine 66 ans,
♥ Tu n' as pas eu le temps de profiter de ta retraite,
Si durement gagnée,
Tu t' es donné toute ta vie,
Pour ta famille, tu t'es usé
♥ Enfin tu pouvais profiter un peu,
Penser à toi,
Tu en as eu à peine le temps,
♥ Ton seul plaisirs,
Tes vacances à la mer,
Sur les plages du Nord,
Que tu aimais tant
♥ Un week-end, une semaine,
Peu importe,
Tu partirais alors,
Quand tu voudrais
♥ Ta vie c' est achevé,
Finalement, tu as passé ta vie,
A trimer, à te fatiguer, à t' user,
Arriver au bout du chemin,
♥ Tu te croyais sauvé,
On a souri, ris, une dernière fois,
Tu allais mieux,
Mais l' on savait,
♥ Maintenant tu n'es plus là,
Au fond de nos coeurs tu resteras,
À vie, on ne t' oubliera ........
♥ auprès de nous,
Tu es là,
Je le sens,
Le ressent,
♥ On se retrouvera,
Tout là-haut,
On s' attendra,
Promis je serais là,
♥ J'en suis sûre,
Et j'y crois
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♀ voluptueuses pensées ♂
♂ De tes doigts, tu descends lentement,
Sous les plis de son chemisier,
Tu découvres une peau satiné,
♀ les reins cambré,
Tu dessines de tes mains,
Le tatouage au creux de ces reins,
♂ Elle cherche tes yeux,
En douceur, les regards ce croise,
La ceinture tombe,
Elle se régale
♀ L' orage éclate,
Les soupirs , belle de nuit,
Au font d' elle tu t' enfouis
♂ éphémère cet instant,
Mais si présent dans le temps,
Le va et vient des corps,
enlacés , s' oubli
♀ Plaisirs, du moment,
Quand avec sa langue,
Il ne défit pas les mots,
Mais les sens
♂ D' une présence si dense,
Elle en oublie ses pensées,
Et se laisse aller ,à l' aimé
♀ De sa bouche, elle accepte,
Il ne dit mot et reçoit,
♂ Jouissance d'un instant,
Les mots ce forme,
Court mes aimant
♀ Les doigts ce frôlent et s' accrochent,
Les regards vide,
La respiration bloquée,
Il est là, il est tout près
♂ Dans un dernier soupirs,
l'étreinte ce fait plus forte,
Les corps tremble,
L'air n'est plus,
♀ Arriver au sommet des plaisirs,
L'orgasme atteint,
les corps ne font qu'un,
♂ si belle,
La petite mort,
le renouveau,
Et la vie ....